Signification du terme "acné"
L’acné est un vieux problème et pourtant, c’est l’une des maladies de la peau les plus courantes qui cause habituellement des “éruptions cutanées ou des boutons” sur le visage, le dos, le cou et quelquefois sur les bras. Le terme “acné” vient du grec qui signifie éruption cutanée.
Depuis l’Antiquité, l’acné a été considérée comme une maladie sérieuse de la peau qui pouvait sévèrement toucher le teint de l’être humain. L’acné est donc maintenant considérée comme la maladie de peau la plus courante qui persiste même depuis les temps les plus anciens. Cependant, à cause du manque de connaissances correctes et de recherche, l’acné a ensuite été plutôt considérée comme une maladie “contagieuse” qui pouvait être transmise d’une personne à une autre.
Les historiens retracent l’histoire de l’acné à travers trois anciennes civilisations majeures : les Egyptiens, les Romains et les Grecs.
L’acné et l’Egypte Antique
Les données archéologiques ont permis de découvrir que même les Pharaons d’Egypte essayaient de soigner ce problème et faisaient de gros efforts pour le même résultat. Cependant, à cause du manque de technologie et recherches scientifiques, beaucoup de mythes et de superstitions étaient liées aux causes, signes, symptômes et traitement de l’acné.
Les anciens Egyptiens par exemple, utilisaient la magie, les incantations et les envoûtements pour la traiter. De même, les Egyptiens qui vivaient au troisième siècle après J.C., croyaient que l’acné était provoquée en disant des mensonges. La nourriture et certaines boissons étaient également considérés comme étant une cause majeure de l’acné au 14ème siècle. Pour la même raison, les médecins et “harkeems” de la médecine orientale demandaient à leurs patients d’éviter les aliments épicés et les boissons fortes. Ce n’est pas avant le 20ème siècle que des progrès significatifs ont été faits dans le traitement des maladies de peau.
L’acné et la Grèce Antique
Les données historiques indiquent que, dans la Grèce Antique, Aristote et Hippocrate faisaient mention de la maladie. Les physiciens de la Grèce Antique reconnaissaient certainement l’acné qu’ils connaissaient en tant que tovoot, une maladie qu’Aristote décrit de manière suffisamment détaillée pour qu’il n’y ait pas de doute quant à son identification. Hippocrate utilisait également le terme mais n’a pas expliqué ce qu’il voulait dire par là, bien que sa formulation suggère que la maladie était bien connue et identifiée.
L’acné et la Rome Antique
Il existe des histoires avérées à propos de Romains qui utilisaient des “bains chauds de souffre” pour diminuer les symptômes de l’acné. En fait, les historiens décrivent un moyen intéressant de traiter l’acné dans la période de la Rome Antique. On peut dire que les Romains ont été la première civilisation à traiter l’acné. Durant l’Empire Romain (27 avant J.C. jusqu’à 393 après J.C.), on pensait que les pores pouvaient être débouchés et nettoyés en mélangeant du souffre dans les bains minéraux. C’était plutôt efficace, car ce type de nettoyage réduisait le nombre de bactéries à l’origine de l’acné. De plus, grâce aux propriétés déshydratantes du souffre, la graisse qui bouchait la peau était asséchée. Bien qu’il ne s’agisse pas du remède parfait, le traitement à base d’eau minérale et de souffre a amélioré les signes et symptômes de l’acné.
En se basant sur le bref historique ci-dessus, on peut en conclure que l’acné est une vieille maladie avec une vieille histoire. De temps à autre, les différentes cultures et sociétés ont utilisé des méthodes différentes pour aborder le problème. Grâce aux avancées modernes dans le domaine de la thérapie naturelle, des nouvelles formules et systèmes sans danger sont maintenant disponibles. Non seulement ils traiteront le problème avec succès mais il vous feront en plus économiser de l’argent.
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